
Topic Spécial Amis du Tekken Choisy Volume 13
Modérateur : Modz
Réponse à un message du sujet "Quoi de neuf cette semaine (au ciné)".

a peine revenu tu flood déjaTokubei a écrit :c est un outrage!!!Sonny a écrit :
A mon avis toi t'es un mec qui ne regarde pas autre chose que l'action dans les films..tu sais yas pas que les images qui compte, faut aussi écouter les dialogues, voir ce que t'apporte le film a la fin par exemple...
Moi il m'as rien apporté![]()
par contre il m'a déporté 9.90e de ma poche![]()


- Sephiroth Lune
- Ze Freaky Stuff
- Messages : 14286
- Enregistré le : 18 mai 2003 à 22h45
- Localisation : Lyon (69)
- Contact :
http://www.scoopeo.com/presidentielles2 ... -plein-vol
j'adore, je me souvenais pas de toutes ces feintes de sarko
à croire qu'elle en redemande quand même ségolène ...
j'adore, je me souvenais pas de toutes ces feintes de sarko

- Jin75
- Ze Freaky Stuff
- Messages : 10494
- Enregistré le : 16 oct. 2005 à 17h04
- PSN : Jin75X
- Localisation : Paris
Hmm mouais mouais, va falloir passer sous le bureau...Monsieur comment déjà ?manou a écrit :Monsieur Jin75,
J’ai le plaisir de vous proposer mon inscription pour un éventuel participation au tournoi Brutalsession.
Ce tournoi est idéal pour moi de pouvoir progresser, et donc je pense que vous pouvez m'aider à réaliser ce souhait.
De plus, jouer contre des joueurs de ton niveau, ou OldBoy(défi), Battoussai (défi), traduit un réel motivation de ma part.
j’aurais plaisir à vous présenter de vive voix mes motivations et reste à votre entière disposition pour tout complément d’information.
Vous remerciant, à l’avance, de l’attention que vous voudrez bien accorder à ma demande, je vous prie de croire, Monsieur, en l'expression de ma respectueuse considération.
pour le tournoi team, je verai avec Hajin et Oldboy si Lix ne vient pas![]()

Uf4 c'est la vérité !
- Sephiroth Lune
- Ze Freaky Stuff
- Messages : 14286
- Enregistré le : 18 mai 2003 à 22h45
- Localisation : Lyon (69)
- Contact :
Réponse à un message du sujet "Quoi de neuf cette semaine (au ciné)".
Non bien joué, la retraite à un bon effet sur ton humour
Quiksilverman a écrit :@Sonny : T'aurais pas dû te retourner autant pendant la projection pour voir si t'étais le seul à te faire ch*er, parce que résultat, t'as rien du tout suivi du film (provenance du symbiote, Spider-man aimé de la ville, l'homme de sable...)
Non bien joué, la retraite à un bon effet sur ton humour

- Quiksilverman
- Top Contender
- Messages : 6255
- Enregistré le : 09 oct. 2003 à 23h59
- PSN : QuikSilverMan
- Localisation : San Francisco, CA
- Contact :
Tiens une étude du débat que j'ai reçu par mail: intérésant.
~
L'intégralité du débat avec Raphaëlle Bacqué, journaliste spécialiste en politique : "Nous avons vraiment senti cette nouvelle génération qui arrive aux commandes. Le débat était bien plus vif, bien plus fluide et plus intéressant que le Chirac/Jospin de 1995."
Qui a gagné ? Qu'est-ce qui restera de ce débat dans l'histoire ?
Raphaëlle Bacqué : Sarkozy a été meilleur dans la forme. Il a aussi montré qu'il pouvait être calme et qu'il ne faisait pas peur. Ségolène a été plus incisive et, après une première demi-heure difficile, elle s'est montrée assez solide face à lui.
Il me semble toutefois que Sarkozy est resté assez bien dans son rôle de présidentiable, même s'il a été mis en difficulté parfois, alors que Royal a parfois adopté le rôle de chef de l'opposition.
Ce débat a surtout marqué le début d'une nouvelle époque. Cette fois, nous avons vraiment senti cette nouvelle génération qui arrive aux commandes. Le débat était bien plus vif, bien plus fluide et plus intéressant que le Chirac-Jospin de 1995. Sur le plan de la réalisation, d'ailleurs, le réalisateur a eu l'habileté de contourner les règles très rigides (datant de l'époque Mitterrand) et, même sans plan de coupe, de donner au débat une allure plus moderne.
Quels ont été les moments forts ? les pics de tension ?
Raphaëlle Bacqué : Indéniablement, l'échange très vif sur les handicapés. C'est d'ailleurs assez curieux que Sarkozy ait "offert" à Ségolène Royal cette occasion de se "refaire" sur un sujet qu'elle maîtrise mieux que lui. Royal a donc gagné ce petit pugilat, pendant lequel elle a paru sincèrement en colère et assez convaincante.
Tout le problème pour elle est que ce sujet est, comment dire les choses sans choquer, un peu "minoritaire". Ce n'est pas en tout cas l'un des sujets majeurs, au centre des préoccupations des Français.
Comment vous a paru Ségolène Royal ? Ses points forts, ses faiblesses, sa voix, sa gestuelle, son discours ?
Raphaëlle Bacqué : Elle est mal entrée dans le débat, au départ. C'est l'un de ses défauts, constatés tout au long de cette campagne, elle a facheuse tendance à ne pas répondre à la question posée et à imposer son propre canevas. Au départ du débat, elle n'a pas échappé à cette règle. Alors que Sarkozy exposait sa conception de la présidence, elle est partie sur un long développement, nourri de beaucoup trop de chiffres pour fixer vraiment l'attention.
Elle garde des points faibles : l'économie et notamment le problème des 35 heures, où elle doit gérer sa propre critique et le projet socialiste, qui propose de les généraliser.
Néanmoins elle a dominé Sarkozy sur l'environnement. Sur l'éducation, qui est l'un des points forts de son programme.
Sur la forme, elle est presque toujours trop longue dans ses réponses, parfois abstraite et construisant. Son propos, par association d'idées, donne parfois une impression de confusion.
Du coup, c'est lorsqu'elle se met en colère qu'elle est la meilleure : elle se montre alors beaucoup plus directe, crédible, et Sarkozy en a été surpris. Enfin, elle m'a paru un peu fatiguée, mais toujours très belle. Mais cela reste très subjectif, bien sûr.
Mêmes questions pour Nicolas Sarkozy ?
Raphaëlle Bacqué : A l'inverse, il est bien entré dans le débat, en le plaçant tout de suite au bon niveau.
C'est un débatteur hors pair, on le sait, mais il a quelques points faibles. Sur la longueur, d'abord, sa rhétorique peut agacer si elle paraît rodée. Mais c'est surtout sur le fond qu'il a quelques failles : s'il paraît convaincant sur le travail et les 35 heures, il l'est vraiment moins sur la protection de l'environnement.
Sur la forme, enfin, tout l'enjeu, pour lui, était de rassurer, de montrer qu'il n'est pas le "Sarko facho" que fustigent ses contempteurs. Il a tenu sans s'énerver, même si, en fin de débat, sa gestuelle redevient un peu saccadée, avec ce mouvement d'épaule qui lui est propre. Il s'est efforcé aussi de sourire et s'est appliqué de bout en bout à être courtois, abusant peut être parfois du "Madame Royal".
Néanmoins il a sut mettre en avant son sang froid contrairement à sa concurente.
Pensez-vous que les indécis se sont fait une idée ?
Raphaëlle Bacqué : C'est assez compliqué à savoir. Ceux que j'ai interrogés, depuis hier soir, restaient assez souvent évasifs sur leurs options à venir pour dimanche...
S'adresser aux journalistes plutôt que son interlocuteur était-il le moyen pour Sarkozy de garder son calme ? Ne trouvez-vous pas que les rôles ont été inversés, Sarkozy en calme victime et Royal en lionne ?
Raphaëlle Bacqué : Oui, ils ont joué à front renversé. Le choix de Sarkozy n'a pas été une surprise, puisqu'il devait contredire sa réputation d'agité et de brutal. Le choix de Royal a été plus osé. Au point que, parfois, je me suis demandé si elle ne jouait pas aussi l'après, en cas de défaite, avec cette façon de se poser en chef de l'opposition.
Sarkozy regardait, en effet, souvent les journalistes, en tout cas après la première demi-heure. Peut-être a-t-il été surpris que Royal l'attaque autant d'emblée et cherchait-il un arbitrage. Elle, elle ne l'a quasiment pas quitté des yeux.
Quelle influence peut avoir selon vous le débat sur le second tour ? Sarkozy avait-il tout à perdre en tant que favori et Royal, tout à gagner en tant que challenger ?
Raphaëlle Bacqué : Ils n'arrivaient pas au débat dans la même position, en effet. Sarkozy doit maintenir son avance, rassurer les centristes et rallier les Front national. Il doit surtout éviter la constitution d'un puissant front anti-Sarko qui pourrait lui nuire. De ce point de vue, on l'a dit, il s'est montré rassurant.
Royal est le challenger. Elle doit toujours lever le doute sur sa crédibilité, convaincre les centristes de la rejoindre et rattraper un retard de cinq points sur son adversaire. Elle a donc joué "tapis", comme on dit aux cartes, attaquant Sarkozy d'emblée et se jetant dans la bataille. Elle y a gagné une réputation de pugnacité et a montré qu'elle tenait le coup face à un orateur très coriace comme Sarkozy.
Dans ce genre de débat, qu'est-ce qui est le plus important : la personnalité des candidats ou leurs idées ?
Raphaëlle Bacqué : Evidemment, la façon dont les candidats défendent leurs idées, la performance physique et intellectuelle de ce type d'exercice. Car, sur le fond, aucun d'entre eux n'a fait d'annonce particulière et ils ont tous deux repris des propositions déjà largement annoncées lors de la campagne.
C'est tout à fait normal : ce genre de débat n'est pas le lieu où l'on propose des nouveautés, mais où l'on défend ses idées et où l'on argumente. C'est donc presque le numéro d'acteur que l'on juge, le pouvoir de conviction, la capacité à répondre à la contradiction, mais le texte d'un acteur est toujours aussi important que l'interprétation.
Qu'est-ce qui vous a surpris dans ce débat ?
Raphaëlle Bacqué : Il est rare que ce genre de débat change la donne. Je ne suis pas certaine que cela fasse changer d'avis les électeurs et ce n'est qu'un élément parmi d'autres pour les indécis.
Personnellement, moi qui adore la politique et me lamente souvent sur l'archaïsme de nos dirigeants, j'ai trouvé le débat de très bon niveau.
Un seul vrai regret : les questions internationales et notamment européennes n'ont été que très peu abordées, mais ce repli sur les questions intérieures est malheureusement la marque de toutes les élections, quel que soit le pays concerné.
En tout cas, pour avoir suivi des scrutins à l'étranger et vu les débats qui y sont diffusés, il me semble que celui-ci se situait dans une très honnête moyenne. ~
Sinon de mon point de vue Ségo s'est décrédibilisé, et Sarko est resté safe sans pour autant avoir brillé.
~
L'intégralité du débat avec Raphaëlle Bacqué, journaliste spécialiste en politique : "Nous avons vraiment senti cette nouvelle génération qui arrive aux commandes. Le débat était bien plus vif, bien plus fluide et plus intéressant que le Chirac/Jospin de 1995."
Qui a gagné ? Qu'est-ce qui restera de ce débat dans l'histoire ?
Raphaëlle Bacqué : Sarkozy a été meilleur dans la forme. Il a aussi montré qu'il pouvait être calme et qu'il ne faisait pas peur. Ségolène a été plus incisive et, après une première demi-heure difficile, elle s'est montrée assez solide face à lui.
Il me semble toutefois que Sarkozy est resté assez bien dans son rôle de présidentiable, même s'il a été mis en difficulté parfois, alors que Royal a parfois adopté le rôle de chef de l'opposition.
Ce débat a surtout marqué le début d'une nouvelle époque. Cette fois, nous avons vraiment senti cette nouvelle génération qui arrive aux commandes. Le débat était bien plus vif, bien plus fluide et plus intéressant que le Chirac-Jospin de 1995. Sur le plan de la réalisation, d'ailleurs, le réalisateur a eu l'habileté de contourner les règles très rigides (datant de l'époque Mitterrand) et, même sans plan de coupe, de donner au débat une allure plus moderne.
Quels ont été les moments forts ? les pics de tension ?
Raphaëlle Bacqué : Indéniablement, l'échange très vif sur les handicapés. C'est d'ailleurs assez curieux que Sarkozy ait "offert" à Ségolène Royal cette occasion de se "refaire" sur un sujet qu'elle maîtrise mieux que lui. Royal a donc gagné ce petit pugilat, pendant lequel elle a paru sincèrement en colère et assez convaincante.
Tout le problème pour elle est que ce sujet est, comment dire les choses sans choquer, un peu "minoritaire". Ce n'est pas en tout cas l'un des sujets majeurs, au centre des préoccupations des Français.
Comment vous a paru Ségolène Royal ? Ses points forts, ses faiblesses, sa voix, sa gestuelle, son discours ?
Raphaëlle Bacqué : Elle est mal entrée dans le débat, au départ. C'est l'un de ses défauts, constatés tout au long de cette campagne, elle a facheuse tendance à ne pas répondre à la question posée et à imposer son propre canevas. Au départ du débat, elle n'a pas échappé à cette règle. Alors que Sarkozy exposait sa conception de la présidence, elle est partie sur un long développement, nourri de beaucoup trop de chiffres pour fixer vraiment l'attention.
Elle garde des points faibles : l'économie et notamment le problème des 35 heures, où elle doit gérer sa propre critique et le projet socialiste, qui propose de les généraliser.
Néanmoins elle a dominé Sarkozy sur l'environnement. Sur l'éducation, qui est l'un des points forts de son programme.
Sur la forme, elle est presque toujours trop longue dans ses réponses, parfois abstraite et construisant. Son propos, par association d'idées, donne parfois une impression de confusion.
Du coup, c'est lorsqu'elle se met en colère qu'elle est la meilleure : elle se montre alors beaucoup plus directe, crédible, et Sarkozy en a été surpris. Enfin, elle m'a paru un peu fatiguée, mais toujours très belle. Mais cela reste très subjectif, bien sûr.
Mêmes questions pour Nicolas Sarkozy ?
Raphaëlle Bacqué : A l'inverse, il est bien entré dans le débat, en le plaçant tout de suite au bon niveau.
C'est un débatteur hors pair, on le sait, mais il a quelques points faibles. Sur la longueur, d'abord, sa rhétorique peut agacer si elle paraît rodée. Mais c'est surtout sur le fond qu'il a quelques failles : s'il paraît convaincant sur le travail et les 35 heures, il l'est vraiment moins sur la protection de l'environnement.
Sur la forme, enfin, tout l'enjeu, pour lui, était de rassurer, de montrer qu'il n'est pas le "Sarko facho" que fustigent ses contempteurs. Il a tenu sans s'énerver, même si, en fin de débat, sa gestuelle redevient un peu saccadée, avec ce mouvement d'épaule qui lui est propre. Il s'est efforcé aussi de sourire et s'est appliqué de bout en bout à être courtois, abusant peut être parfois du "Madame Royal".
Néanmoins il a sut mettre en avant son sang froid contrairement à sa concurente.
Pensez-vous que les indécis se sont fait une idée ?
Raphaëlle Bacqué : C'est assez compliqué à savoir. Ceux que j'ai interrogés, depuis hier soir, restaient assez souvent évasifs sur leurs options à venir pour dimanche...
S'adresser aux journalistes plutôt que son interlocuteur était-il le moyen pour Sarkozy de garder son calme ? Ne trouvez-vous pas que les rôles ont été inversés, Sarkozy en calme victime et Royal en lionne ?
Raphaëlle Bacqué : Oui, ils ont joué à front renversé. Le choix de Sarkozy n'a pas été une surprise, puisqu'il devait contredire sa réputation d'agité et de brutal. Le choix de Royal a été plus osé. Au point que, parfois, je me suis demandé si elle ne jouait pas aussi l'après, en cas de défaite, avec cette façon de se poser en chef de l'opposition.
Sarkozy regardait, en effet, souvent les journalistes, en tout cas après la première demi-heure. Peut-être a-t-il été surpris que Royal l'attaque autant d'emblée et cherchait-il un arbitrage. Elle, elle ne l'a quasiment pas quitté des yeux.
Quelle influence peut avoir selon vous le débat sur le second tour ? Sarkozy avait-il tout à perdre en tant que favori et Royal, tout à gagner en tant que challenger ?
Raphaëlle Bacqué : Ils n'arrivaient pas au débat dans la même position, en effet. Sarkozy doit maintenir son avance, rassurer les centristes et rallier les Front national. Il doit surtout éviter la constitution d'un puissant front anti-Sarko qui pourrait lui nuire. De ce point de vue, on l'a dit, il s'est montré rassurant.
Royal est le challenger. Elle doit toujours lever le doute sur sa crédibilité, convaincre les centristes de la rejoindre et rattraper un retard de cinq points sur son adversaire. Elle a donc joué "tapis", comme on dit aux cartes, attaquant Sarkozy d'emblée et se jetant dans la bataille. Elle y a gagné une réputation de pugnacité et a montré qu'elle tenait le coup face à un orateur très coriace comme Sarkozy.
Dans ce genre de débat, qu'est-ce qui est le plus important : la personnalité des candidats ou leurs idées ?
Raphaëlle Bacqué : Evidemment, la façon dont les candidats défendent leurs idées, la performance physique et intellectuelle de ce type d'exercice. Car, sur le fond, aucun d'entre eux n'a fait d'annonce particulière et ils ont tous deux repris des propositions déjà largement annoncées lors de la campagne.
C'est tout à fait normal : ce genre de débat n'est pas le lieu où l'on propose des nouveautés, mais où l'on défend ses idées et où l'on argumente. C'est donc presque le numéro d'acteur que l'on juge, le pouvoir de conviction, la capacité à répondre à la contradiction, mais le texte d'un acteur est toujours aussi important que l'interprétation.
Qu'est-ce qui vous a surpris dans ce débat ?
Raphaëlle Bacqué : Il est rare que ce genre de débat change la donne. Je ne suis pas certaine que cela fasse changer d'avis les électeurs et ce n'est qu'un élément parmi d'autres pour les indécis.
Personnellement, moi qui adore la politique et me lamente souvent sur l'archaïsme de nos dirigeants, j'ai trouvé le débat de très bon niveau.
Un seul vrai regret : les questions internationales et notamment européennes n'ont été que très peu abordées, mais ce repli sur les questions intérieures est malheureusement la marque de toutes les élections, quel que soit le pays concerné.
En tout cas, pour avoir suivi des scrutins à l'étranger et vu les débats qui y sont diffusés, il me semble que celui-ci se situait dans une très honnête moyenne. ~
Sinon de mon point de vue Ségo s'est décrédibilisé, et Sarko est resté safe sans pour autant avoir brillé.

- ombrejeriko
- Master of Puppets
- Messages : 583
- Enregistré le : 29 déc. 2005 à 16h25
- Localisation : strasbourg
Ils ne savent surtout pas a combien s'éléve de porcentage d'énerfie produite par le nucléaire dans leur pays....... sa m'a fait péter de rire lors du débat... l'un comme l'autre a eu la mauvaise idée de trainer sont adversaire sur des terrains que lui même maitrise mal... ils s'y sont foutue ensemble.
Aucun ne mérite vraiment d'être le chef de l'état. Enfin simple avis.
Aucun ne mérite vraiment d'être le chef de l'état. Enfin simple avis.
Le chiffre donné par Ségolène Royal est exact, il me semble, mais correspond au nucléaire utilisé pour la production électrique (uniquement).ombrejeriko a écrit :Ils ne savent surtout pas a combien s'éléve de porcentage d'énerfie produite par le nucléaire dans leur pays....... sa m'a fait péter de rire lors du débat... l'un comme l'autre a eu la mauvaise idée de trainer sont adversaire sur des terrains que lui même maitrise mal... ils s'y sont foutue ensemble.
Aucun ne mérite vraiment d'être le chef de l'état. Enfin simple avis.
- Sephiroth Lune
- Ze Freaky Stuff
- Messages : 14286
- Enregistré le : 18 mai 2003 à 22h45
- Localisation : Lyon (69)
- Contact :
le chiffre donné par ségolène n'est pas exact, car il ne correspond pas à la question posée
mais sarko, avec son "minimum 50%", était plus proche, tout en restant loin du compte.
maintenant, je vais pas baser mon vote sur un un seul chiffre qui n'est pas connu ... parceque si je me base la dessus, vu ce que sait ségolène comparé à ce que sait sarko, la vote est vite vu

maintenant, je vais pas baser mon vote sur un un seul chiffre qui n'est pas connu ... parceque si je me base la dessus, vu ce que sait ségolène comparé à ce que sait sarko, la vote est vite vu
