Passe donc ton chemin, manant, ou plutôt reste, et profites en pour te cultiver un peu car je viens parler ici d'un des plus beaux films de cette fin d'année:
Ivre de femmes et de peinture, film coréen du prolifique Im Kwon-Taek, qui a été récompense au dernier Festival de Cannes par le prix de la mise en scène et autant dire que c'est mérité.
Pourquoi, me direz vous?
Et d'abord de quoi ça parle?
Le film retrace la vie d'Ohwon alias JANG Seung-Ub, un peintre coréen né en 1843, époque agité pour un pays qui connait le déclin après une période faste. Et c'est ainsi que, ds ce pays qui se cherche, se déroule l'histoire d'un homme qui se cherche, qui recherche la pleinitude de son art, un art jusque là très codifié et réservé aux nobles...
Je m'arrête là parce que vous n'avez pas besoin d'en savoir et que je ne voudrais pas vous emmerder alors que mon but est de vous donner envie d'aller voir le film et pas de me la péter érudit avec l'histoire de la Corée!
C'était donc le "de quoi ça parle", pour le reste, utilisons les petits smileys que ce bon vieux Kenj a eu bien du mal à trouver:




PS: N'oubliez pas "C'est bien foutu les trucages", sur Radio Alligre, un dimanche sur deux, de 13h à 14h!